Louis, Éric et Daniel sont inséparables. Ils sont jeunes, téméraires et vivent à 100 milles à l'heure. Rapidement, les jeux d'enfant prennent le chemin du petit crime désorganisé. Leur amitié sera mise à rude épreuve. Cette comédie dramatique pose un regard tendre et décalé sur la période à la fois trouble et enivrante du passage à l'âge adulte, avec la ville de Québec et ses années 1970 et 1980 en toile de fond. (dossier de presse)
«Vivre à 100 milles à l'heure est un grand mensonge inspiré par un fond de vérité. Un peu comme pour mon film Gaz Bar Blues, il s'agit une fois de plus de repartir sur les traces de mes souvenirs, une partie étant autobiographique et l'autre faite d'évènements réinventés. Ces jeunes amis, qui veulent devenir grands trop vite, feront beaucoup d'erreurs de jeunesse et apprendront la vie « à la dure » en ne perdant jamais l'espoir d'un avenir meilleur. C'est l'amitié et le goût des sensations fortes qui les motivent. Un film initiatique sur une certaine jeunesse. Celle d'avant les vraies responsabilités, où nous étions habités d'un sentiment que rien de grave ne pouvait nous arriver et que nous étions éternels.» (Louis Bélanger)