Dans la cour centrale d'une prison, gardiennes et détenues en tenue de fête s'emparent de bassines, de bouteilles et de morceaux de bois. Avec ces percussions de fortune, elles jouent le fameux N'Deï Geï, suite de chants et de danses érotiques du grand percussionniste virtuose Doudou N'diaye Rose. Les plus hardies s'avancent et entraînent les autres dans la danse, s'agitant autour de Karmen Geï qui, par une sorte de jeu convenu, repousse leurs avances. Au deuxième mouvement, Karmen Geï ne résiste plus, accompagnant le rythme des percussions de rafales de coups de reins suggestifs. Karmen Geï est l'histoire d'une passion qui avance au rythme d'une Carmen « black » guidée par le Requiem de Mozart. (site internet Téléfilm Canada)
In a prison's central courtyard, guards and female prisoners dressed in festive garb take up bowls, bottles and pieces of wood. Using these percussive objects, they begin to play the famous N'Deï Geï, a suite of songs and erotic dances by the great virtuoso percussionist Doudou N'diaye Rose. The more vigorous of the women entreat the others to dance, moving around Karmen Geï, who playfully rejects their advances. In the second movement, Karmen Geï joins in the dance, moving her hips in sudden, suggestive bursts in accompaniment to the rhythm and percussion. Karmen Geï is a story of passion, a black re-telling of Bizet's Carmen under the influence of Mozart's Requiem. (site internet Téléfilm Canada)